Salut aux personnes qui se risquent à prendre connaissance de mes petites affaires littéraires.
Cela fait un bail que je n'ai pas alimenté mon blog. D'aucuns penseront que c'est par fainéantise, désintérêt, manque de temps, que sais-je encore. Au vrai, je n'avais pas grand-chose à dire, tout du moins rien qui sois susceptible de retenir l'attention du visiteur lambda. Néanmoins, entre ce long intermède un manuscrit a pris naissance : " La Trajectoire Du Drame ".Un roman qui, actuellement, est livré aux bons soins d'une maison d'éditions. Une histoire concoctée d'après un fait réel qui s'est déroulé en France. A savoir, le drame survenu à deux artistes lors d'un gala parrainé par Alain Delon. De quel drame s'agit-il ? Patience, le livre apporte les réponses que chacun peut se poser. La lecture de la quatrième de couverture dévoile le début de cette aventure livresque. lisez plutôt.
Ce numéro était particulièrement dangereux. Le fait que le risque soit considérable, en faisait l'attrait. L'être humain est ainsi; la proximité de la mort lui occasionne une attirance macabre.
Les artistes, boostés par la ferveur des spectateurs, déroulaient leur démonstration millimétrée. Kelly Baker fit virevolter sa jupette de cuir et alla s'agenouiller devant un panneau noir. Le tireur cala une pomme sur le dessus de la tête de sa partenaire, saisit son arbalète, encocha une flèche et épaula. Soudain Kelly poussa un cri strident et s'effondra. Adam Baker, figé, incapable de réagir, tenait ses mains plaquées sur ses yeux. Sa partenaire et épouse chérie, pelotonnée au centre d'une flaque de sang, n'osait s'allonger. Armée de courage, elle s'agenouilla et avant que n'interviennent les secours, elle arracha la flèche plantée dans son crâne.
La couverture de mon dernier livre. Un opus destiné à la jeunesse. Plus précisément aux lecteurs ayant entre 7 et 77 ans. Publication prévue fin août. Pour un petit billet de 10 euros auquel vous ajouterez un minuscule bifton de cinq euros, vous acquerrez un ouvrage bienfaisant. Un monsieur de 71 ans, ancien prof de français, m'a confié avoir savouré l'histoire de Banzaï. Vous ne courez aucun risque, le chien contient ses aboiements, ne mord pas, il se contente de narrer ses aventures.
Voilà plusieurs semaines, voire quelques mois que j'ai négligé d'enrichir le rédactionnel de mon blog. Par manque de temps ? Défaut d'inspiration ? Par fainéantise ? La cause la plus probable est à rechercher dans chacune de ces interrogations. Ce disant, durant cet intermède, j'ai travaillé à l'écriture d'un ouvrage destiné à la jeunesse. Après avoir publié des livres de classifications diverses "humour, histoire, romans" pourquoi pas un bouquin prédestiné aux 7 à 77 ans. Le récit s'attache à relater les pérégrinations d'un chien nommé Banzaï, mon Carlin adoré. Un matin, au réveil, Banzaï se rend compte que ses patrons ont quitté la maison. Ces derniers, habituellement, l’emmènent avec eux, tandis que cette fois ils l'ont laissé sous la garde d'une personne. Le petit chien malin, fausse compagnie à son gardien et part à la recherche de ses maîtres. Son expédition le mènera jusqu'à Paris. Isolé, exposé aux dangers, Banzaï parviendra-t-il à se tirer d'affaire ? Dans le but d'en savoir plus, il sera nécessaire d'acquérir l'opuscule. Vous ne pensez tout de même pas que je vais vous dévoiler la fin sans bourse délier. Hé ho ! en dépit de la sueur qui orne mon front, notez l'absence d'une quelconque inscription.
Mon dernier livre "Seuls Les Chanceux Vieillissent" est disponible. Vous pouvez le commander chez votre libraire préféré, à la Fnac, sur internet, Chez Gibert Joseph, aux Éditions Les Presses Du Midi. Également, la librairie "Des livres et vous" sise N°50 Bd de Saint Loup 13010 Marseille réassort tous mes ouvrages.
J'ai déjà des retours positifs, notamment celui d'un lecteur, clinicien de son état. Lisez plutôt.
Vous dire que l'histoire m'a séduite serait réducteur, j'ai été agréablement surpris par la grande précision des informations liées au don d'organe. Jean-Claude Roméra, appuyé par des recherches fouillées, a effectué un travail d'une incontestable valeur. Son récit nous épargne les habituelles dénaturations liées au spectaculaire et traite avec justesse d'un sujet passionnant, délicat, empreint de générosité humaine. Au-delà de l'aspect technique, la lecture de "seuls les chanceux vieillissent" m'a procuré un intense plaisir et m'a permis de découvrir un romancier à la plume inspirée qui, j'en suis persuadé, séduira les lecteurs les plus exigeants.
Je vous ai momentanément délaissé parce que j'avais du pain sur la planche. Peut-être pensez-vous que je glande à longueur de journée ? Il n'en est rien, et puis cela ne vous regarde pas. Pour tout vous dire, je viens de terminer l'écriture d'un prochain livre. Le titre, si l'éditeur n'en change pas, devrait être " Seuls les chanceux vieillissent" une histoire qui m'a donné du fil à retordre. Elsa est infirmière dans une unité médicale. Son mari, lui, est urgentiste. Une maladie dégénérative chamboule l'harmonie du ménage. Une greffe pourrait redresser la santé d'Elsa. Toutefois, une affaire de meurtre, mêlée à l'action du don d'organes, contrariera l'équilibre du couple. Un récit ou la culpabilité a des accents distincts. Un duo d'enquêteurs retors, parachève ce polar fuligineux. La parution étant imminente, je vous engage à mettre du fric de côté. Songez, avant d'engager votre argent dans une dépense inutile, que l'achat d'un livre est un placement sûr.
Je reviens vers vous après une longue absence. D'aucuns diront, il se la coule douce ! Que nenni. Pensez-vous que je n'ai rien d'autre à traiter que de me répandre sur mes états d'âme. Puisqu'il est question d'âme, permettez-moi d'évoquer celles qui, récemment, ont quitté leur enveloppe corporelle. Des femmes, des hommes victimes de la barbarie. C'est pourquoi, je considère que la lecture est une force de résistance contre la rancœur. La lecture défend la liberté de penser, perpétue le devoir de mémoire et engage à la pacification. Par la réflexion qu'elle suscite, la lecture éveille à la démocratisation du raisonnement philosophique, elle joue un rôle essentiel au cœur de notre enrichissement instructif. La lecture concède de mieux comprendre la société et d'y trouver sa place. En somme, la lecture cultive et humanise le lecteur. Puissent les sanguinaires incultes, échanger leurs armes contre des livres. Chers amis, lisez et si vous ne savez quel bouquin choisir, je me permets de vous rappeler que mes livres demeurent une alternative.
Chez Alex Alistair, un samedi soir du mois de septembre, j'ai présenté mon dernier livre "L'Eperdue" sous-titré "Ce qui n'appartient qu'aux femmes" Laurence Fristch (écrivaine) à tenu le rôle de modératrice. Je dois reconnaître que ses questions furent pertinentes. Notons qu'une quarantaine de personnes (a) ont contribué au succès de la soirée. Les participants, également, ne manquèrent pas de m'interroger. Une rencontre et des échanges comme je les aime. Vous qui lisez cet article n'était point présent, et bien tant pis. Il faut se bouger les miches, faire l'effort de venir nous retrouver. Ah oui, j'oubliais ! Notez qu'une fois par mois nous organisons une rencontre avec un auteur, alors si par bonheur vous souhaitiez nous rejoindre, rien de plus facile. Vous me téléphonez aux 06-17-48-21-46 ou au 04-91-34-31-63. A moins que vous préfériez vous perdre devant une émission de télévision. Comme dirait un célèbre duo de comique, "C'est vous qui voyez" personnellement je mise sur votre bon sens. Allez, à bientôt de vous recevoir. Avec toute mon estime.
Le voici, le voilà. Mon dernier ouvrage est d'ores et déjà disponible dans tous les points de vente où il se trouve. C'est -à-dire presque nulle part. Toutefois, vous pouvez le commander directement chez l'éditeur, sur internet ou dans n'importe quelle librairie. Le fait que les premiers échos sont très satisfaisants, me réjouis. Notons que dans la mesure ou l'écriture d'un livre s'échelonne sur plusieurs mois, je serai déçu qu'il en aille autrement. Or tout ça est bien mimi, mais permettez-moi de vous poser la question suivante "et vous-même, quand l'acquerrez-vous ?" Je forme le souhait que chacun se précipite sur cette nouveauté avant épuisement du titre. Mon inquiétude étant que le tirage a été limité à 1000 000 d'exemplaires, ce qui, vous en conviendrez est dérisoire. Ne déconnez pas, même si vous ne lisez point le bouquin, vous constaterez qu'en regard de sa couverture, il enjolivera votre bibliothèque. Salut a tous les bons liseurs.
Voilà la couverture (presque définitive) de mon prochain livre. Comment la trouvez-vous ? Vous vous en foutez ! sans doute avez-vous raison. Il est patent, me direz-vous, qu'en l'espèce, l'emballage ne laisse rarement présager de la qualité d'un ouvrage. Sur ce point nous sommes d'accord, il n'y a que son contenu qui vaille, et c'est pourquoi je vous attends au tournant. Vous allez voir ce que vous allez voir ! comprenez, vous lirez, en tout cas ceux qui l'acquérront, liront quelque chose d'exceptionnel, que dis-je, de romanesque, de sensationnel, de prodigieux, de fantastique, de phénomal. Je cale, si vous avez d'autres synonymes ne manquez pas de me les suggérer. Promettez-moi, dès maintenant, d'acquérir plusieurs bouquins, d'autant qu'une remise de 0,5% sera offerte à tout acheteur de 100 exemplaires. Cette proposition exceptionnelle ne durera que le temps d'un orgasme, alors dépêchez-vous, jouissez et lisez ensuite. Ce disant, si ma prose ne vous émoustillera point, vous aurez été bénéficiaire d'un instant de volupté. Elle est pas belle la vie de lecteur ? Lire c'est jouir d'un texte, et croyez-moi, c'est aussi délicieux que de faire l'amour. J'embrasse les messieurs et baise la main des dames. Avec sympathie.
Je reviens vers vous. Il est vrai que je vous ai négligé. Par manque de temps ? Par omission ? Par fainéantise ? Le sais-je moi même ? Au vrai, j'avais la tête ailleurs, j'étais plongé dans l'écriture d'un nouveau roman. Le boulot n'est pas entièrement terminé, il me reste à relire, à modifier, à retravailler le manuscrit. Voudriez vous savoir de quoi il s'agit ? Probablement ! et bien je n'en dirai pas grand chose. Si, le titre " L'éperdue " sous-titré " Ce qui n'appartient qu'aux femmes " Encore, me direz-vous, une histoire qui fait la part belle aux femmes. Oui et alors, pourquoi pas ! il y a tellement à fouiller dans leur coeur, leur âme. L'action se déroule entre Marseille et la Tunisie, le récit se veut poignant, la folle aventure d'une femme éperdue. Un bon conseil, en attendant lisez mes autres ouvrages. Déconnez pas, sinon j'arrête de me décarcasser. Je compte sur vous, vraiment. La bise et à bientôt.
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